Bipolaire On Air / Bipolar On Air

👪Marion, bipolaire : « Je n’en pouvais plus de me battre contre moi-même » Émission radio Europe 1 Dans les yeux d'Olivier OLIVIER DELACROIX 06h00, le 22 février 2022  J'ai écouté ce podcast avec beaucoup d'attention et ce qui m'a frappée, c'est la solitude de cette jeune-fille face au déni de ses parents, de sa sœur cadette et de ses amis. Alcool, drogues, scarification, TS, tous les signaux d'appel à l'aide étaient pourtant là. Même quand le diagnostic de bipolarité a été évoqué par les soignants, les parents n'y ont pas cru et ont tout fait pour l'écarter. Ils disent qu'ils étaient fiers de la réussite scolaire de leur fille et que c'était impossible d'accepter qu'elle ait une maladie mentale. Puis le couple éclate et le père s'en va.Olivier Delacroix fait la remarque que les hommes n'ont pas les épaules aussi fortes que les femmes face à la maladie mentale d'un proche. Le mari souligne le courage de sa femme qui a fin

😰Face à une personne manipulatrice de grande envergure, on se trouve toujours démuni-e, sidéré-e, sous emprise pendant plus ou moins longtemps. Il n'y a qu'une issue : la fuite. Car la personne ne changera jamais. Mais sachez qu'il ou elle se détournera immédiatement lorsqu'il n'y aura rien à gagner au niveau de la souffrance à infliger ou financièrement. Cette personne vous remplacera aisément si ce n'est déjà fait car il ou elle peut collectionner des victimes à plusieurs grades, femme-mari-amant-e, ami-es, collègues, etc...  Une fois que vous avez réussi à partir, n'oubliez pas qu'il ou elle peut vous garder sous le coude en cas de besoin alors assurez vos arrières en coupant tous les ponts ! Si vous avez des enfants, instaurez une communication minimale.  Gardez en tête qu'un-e personne manipulatrice ne ressent rien, même si vous avez eu l'impression au début d'être aimé-e comme jamais auparavant ! Tout cela était "Fake"! Oui j

🌀 Bonne question posée sur un groupe Facebook ! Nombreux sont ceux qui ont rappelé que c'est une maladie qui ne dépend pas de nous. Je suis d'accord. Je ne peux qu'accepter les traitements et la thérapie et aller à l'hôpital quand je suis en crise si je veux stabiliser mon humeur. D'autres ont mentionné l'importance de l'hygiène de vie. Il y a aussi la psychoéducation, les groupes de parole, les GEM, les CMP, les médiateurs de santé pairs, les TCC avec un psychologue. Mais je dirais que j'ai du faire un travail sur moi-même à l'annonce du diagnostic et par rapport aux jugements des membres de la famille et des amis qui ont disparu... En effet, d'abord j'ai rien compris lorsque le psychiatre m'a dit que clairement j'avais une pathologie de troubles bipolaires. Il n'a rien expliqué ou peut-être que j'étais tellement sidérée que je n'ai pas fait attention à ce qu'il racontait... En tout cas, je n'ai pas suivi la pres

🚭Aujourd'hui, j'ai vu ma tabacologue à l'hôpital qui me suit depuis 2018. Elle était ravie de voir que je tiens le cap depuis le 2 novembre dernier. Ça fait 3 mois et demi que j'ai arrêté de fumer ! Ma tabacologue est psychologue tabacologue rattachée à l'équipe d'aide au sevrage tabagique et cannabique. La première fois que je l'avais rencontrée, j'étais là pour accompagner ma fille aînée Millie qui souhaitait arrêter et qui a d'ailleurs réussi alors qu'elle fumait 3 paquets par jour ! La tabacologue m'avait bien expliqué quels étaient les risques liés au tabagisme tels que cancers, maladies cardiovasculaires et complications pulmonaires. On avait parlé longuement des milliers de substances toxiques et des dangers de la combustion. Elle m'avait fait passer le test de Fagerström pour déterminer mon degré de dépendance. Il s'est avéré que j'ai une dépendance physique, psychologique et comportementale, donc une dépendance très

😔Aujourd'hui, j'ai vu ma psychiatre comme toutes les semaines. Depuis quelque temps, je parlais de ma grande fatigue, de mes troubles du sommeil. Jusqu'à présent, ma psychiatre me disait que c'était peut-être du à la saison, au contexte sanitaire, à un problème somatique. J'ai fait des analyses. Il y a effectivement quelques anomalies que mon médecin généraliste va investiguer par d'autres analyses pour clarifier. Mais ma psychiatre veut anticiper une descente massive en dépression et m'a parlé d'augmenter mon traitement. Les doses vont de 50 mg à 800 mg par jour selon la pathologie et le type d'épisode. Elle m'a donc proposé de revenir à la dose de quétiapine 600 mg LP qu'on m'avait prescrit en clinique psychiatrique à l'été 2020. J'ai pleuré en disant que je dois toujours augmenter les doses quand ça va pas au niveau de mon humeur soit vers la crise maniaque soit vers le versant dépressif avec tout ce que ça comprend comme effe