Bipolaire On Air / Bipolar On Air

Réaction par rapport à la condamnation du Goncourt de poésie Jean-Michel Maulpoix pour avoir frappé sa femme Article paru dans Mediapart  Le 13 février dernier, le poète et critique Jean-Michel Maulpoix comparaissait à Strasbourg au côté de son épouse pour « violences réciproques sur conjoint ». Contre l’avis du procureur, elle a été relaxée et lui condamné à dix-huit mois de prison avec sursis. Il n’y aura pas de procès en appel. https://www.mediapart.fr/journal/france/270224/le-goncourt-de-poesie-jean-michel-maulpoix-condamne-pour-avoir-frappe-sa-femme Ce que j'en pense ! Tout y est dans cette affaire ! 25 ans d'écart Emprise sur une très jeune femme Notoriété de l'homme violent Couvert par ses pairs On ne touche pas à un homme d'une telle "réputation" Omerta des voisins complices 25 ans d'un système d'emprise bien en place Que des mains courantes la peur au ventre Pas de plaintes Peur des représailles, de la solitude Famille là mais n'osant pas

Voici le titre de l'article du gouvernement ! 100 écoles et établissements volontaires vont expérimenter dès 2024 la tenue commune à l’école, au collège et au lycée. Destinée à réduire les différences sociales, à lutter contre le règne de l’apparence et contre toutes formes d’inégalités et de prosélytisme... Remarque de Bipolaire On Air / Bipolar On Air  Je dois avouer avoir quelques réticences ! Les uniformes scolaires m'inquiètent plus qu'ils ne m'emballent ! - Gommer les différences ? Les uniformes créent un sentiment d’appartenance et d’unité entre les élèves ? Les élèves marqueront toujours leurs différences autrement : Baskets de marque, téléphone portable, bijoux, sacs, etc - Les uniformes sont pratiques au quotidien En fait les uniformes entravent la liberté de mouvement ! Les élèves doivent pouvoir courir, sauter, grimper, faire du skateboard, du vélo lorsqu'ils ne sont pas skotchés à leur bureau ! - Tous pareils ? Ou connotation genrée ? Jupes pour les jeu

Lorsque je suis arrivée à la Maison Perchée dans le 11e arrondissement un quartier sympa non loin du Bataclan à l'ouest de Paris entre la place de la République et le cimetière du Père Lachaise, la vitrine aux lignes épurées m'a paru stylée et bien visible sur l'avenue de la République au numéro 59. Puis j'ai pénétré dans la Cafète Perchée, la première pièce avec un bar en bois fabriqué maison, une bonne odeur de café et quelques personnes qui papotaient. Un jeune homme m'a saluée gentiment et m'a demandé s'il pouvait me renseigner. J'ai dit que j'étais attendue pour visiter le lieu. « Super ! Bienvenue ! Maxime ne va pas tarder ! Il y a d'autres visiteurs aujourd'hui » a-t-il répondu !  J'ai avancé à travers la salle principale lumineuse dans la continuité avec de grandes baies vitrées, les murs décorés d'oeuvres d'adhérents, un seul canapé, un bureau vitré au fond avec une personne en train de travailler. Le lieu est tout en pro

Commentaire d'une internaute sur la page Facebook Bipolaire On Air : Bonsoir, j'ai une fille qui souffre de bipolarité, de tendance borderline, de TCA, d'angoisse chronique. Son parcours n'est pas tragique comme celui de Guy¹ car nous sommes présents à ses côtés. Mais pour que la personne aille mieux, il est nécessaire qu'elle soit vraiment dans le soin avec tout se que cela implique. Le cadre médical ne peut pas faire les choses à la place du patient. Dans le cas de ma fille, nous sommes à 15 ans de maladie et une situation qui n'évolue pas, voire même qui s'aggrave. Donc le patient doit avoir la volonté d'aller mieux, car personne ne peut faire les choses à sa place. Commentaire de C. Ma réponse : Bonsoir C. Tout d'abord, merci beaucoup pour votre témoignage ! En effet, la question est complexe. Est-ce vraiment à la personne en souffrance de rechercher des solutions ? Que faire pour encourager son proche à aller vers le soin ? Aller vers le corps m